(journal de mes sensations)

vendredi 6 juillet 2012

Insomnie, échanges et...

01h24 ! J'ai quoi ? Dormi deux heures, et encore, si mal, le juste mot serait, somnolé... J'ai vu, plus tard, passer 02h22 puis 03h30 ! Et, évidemment, ce ****** de réveil m'a fichu un coup de stress... Je suis tendu, mais ce matin ça se situe à l'arrière de la tête, dans le siège du système nerveux... tension moins propice aux vantardises ! Bien qu'objectivement, l'autre ne le soit pas plus, sinon par son insistance...
Cette soirée qui devait être celle d'une pierre, s'est avérée celle d'un pois sauteur ! Et les doutes, que j'avais quant à la probabilité qu'un papillon en sorte ce matin, s’avèrent fondés !
Mais d'où viennent ces tensions qui m'assaillent ? La succession de ces basses et hautes pressions ? Oh, j'ai bien une idée... gibbeuse et pâle comme la lune, mais... c'est mon phare et, que puis-je faire d'autre que de prendre sur moi toutes mes impatiences ? Je ne vais tout de même pas me mettre à gueuler : alors quoi, le coup de corne à brume, c'est pour aujourd'hui ou pour demain ?!
Dans ma boîte mail, un message adorable et un second commentaire en provenance de Montréal... Hier, c'était la Suisse, nous avions commencé par échanger quelques mots Grecs, nous en sommes maintenant aux participes passés, mais toujours avec laconisme et humour... Sans omettre, la Normandie en vacances et Paris au travail, à qui j'envoie des clins d’œil ; Bruxelles et Berlin ; et quelques expatriés en Amériques (dont mon petit grand frère, là-bas si loin) et Angleterre... Je ne savais pas qu'en plongeant ainsi en moi, qu'en exposant mes doutes, mes craintes, mes plaies, mes bosses (encore), mes joies et espoirs d'enfant... je serais amené à autant d'échanges plaisants, amusants et réconfortants.
Bon, après le boulot, je passe chez moi, j'ai rendez-vous avec mon lit, mes deux oreillers et mon polochon, on a une nuit à rattraper, en une heure... puis j'irai enlever J. et V., pour les emmener s'emplir de l'air de la campagne... J'en profiterai, tôt le matin, pour aller courir et tenter d’apercevoir cette féminité qui hante mon bois...
J'aurai mon dimanche soir et tout mon lundi pour flâner dans Paris, et qui sait, peut-être, tomber sur le début du reste de ma vie, surtout si elle porte une robe légère et des talons...

1 commentaire:

  1. Avantages collatéraux aux blogues certes. Auquel on ne pense pas toujours.
    Bon sommeil.

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