(journal de mes sensations)

samedi 14 juillet 2012

C'est, presque, ma fête

Ouh là là, c'est ma fête nationale à moi tout seul, jamais je n'ai eu, le même jour, autant de commentaires élogieux... Je me sens l'envie de défiler, de faire le beau, de parader... Où sont, mes souliers vernis, mes guêtres blanches à boutons et mon uniforme rouge et doré ? Mes gants blancs et ma casquette haut de forme avec une sangle sous le nez... Tout raide tout droit, fier comme un militaire défilant le 14 juillet. Vite un tambour... Maestro, trompettes, s'il vous plaît...
Évidemment je préférerais un feu d'artifesses, un peu d'ivresse et des caresses, osées... comme mes mots associés... Une belle nudité à contempler, mais pas seulement... Je voudrais aussi toucher, caresser, y faire éclater comme de petites bulles des milliers de baisers... que ce soit vrai, embaumant ces parfums charnels du désir, avec des yeux qui brillent et des mains qui se serrent...
Bon sang, quel effet ! Jamais je n'aurai imaginé que le défiler du 14 juillet me ferait un jour bander... Je crains cependant, que ce soir, il n'y ait ni bal, ni feux d'artifice, et encore moins de fesses-tivités et donc de bouquet final...
Allez ! Ce n'est que Garden-party remise...

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