(journal de mes sensations)

vendredi 18 mars 2011

La persistance des sensations, écarte le doute d'un rêve éveillé.

À peine quinze minutes, 
pour reprendre souffle...

Cette façon qu'elle a, 
depuis qu'elle est là-bas, 
de prononcer 
des mots d'ici...
Faisant que corps
s'entend cœur ! 
Tout en charme, 
tout en douceur, 
ça m’irradie, 
jusqu'aux larmes... 
Suit cette envie 
si fulgurante, 
de l'enlacer
de la serrer...
Quel talent 
pour réanimer
en à peine un instant, 
ce qu'il y a d'elle en moi, 
pour m'emporter... 
Quelle aisance 
de dire tant 
en si peu de temps, 
ce qu'elle a fait, 
ce qu'elle voudrait...
Juste le temps, 
d'être submergé,
par ce besoin d'elle.
Cette nécessité, 
qu'elle me dise 
comment je vais !

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