(journal de mes sensations)

vendredi 25 mai 2012

Elles me vont si bien

Puisse l'auteur du blog concerné ne pas m'en vouloir... Je viens de tomber sur les phrases de F. Cheng, un de ces auteurs que j'admire tant, qu'il ou elle, cite... 
Des mots qui expriment beaucoup trop ce en quoi je crois, ce que je me sens être, et particulièrement ce que je fais ici... pour ne pas les citer à mon tour :
Toujours démuni et dépossédé, j'ai certes appris à n'être sûr de rien, et j'ai néanmoins la naïve conviction, indéracinable celle-là, que toute chose semée par moi, même seulement en pensée ou par le désir, cheminera jusqu'à son terme, irrésistiblement,
comme indépendamment de ma volonté, pour s'épanouir à des moments peut-être proches, peut-être lointains - peut-être dans une autre vie ? -, où je ne m'y attendrai pas.

Ma tâche principale consistera plutôt à apprendre à les repérer, ces moments.
François Cheng Le dit de Tian-Yi extrait (sur le blog PoésiEtmoi PoésiEmois)

1 commentaire:

  1. Bonne idée ... s’approprier les mots pour parfois écouter ses maux..

    Bien @ vous.

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