Il y eut un temps où à peine éveillé, mon cerveau composait déjà des phrases gracieuses et musicales qui, bien que ne signifiant pas toujours quelque chose, exprimaient bien ce qui l'y poussait : sa grâce, sa beauté... mon enchantement...
Que tout était compliqué... mais quelles exaltations, quels rebondissements, je vivais alors...
Je ne m'efforce que pour l'autre ! Dès lors que je n'aie qu'à songer à moi-même, il me semble céder à la médiocrité. Je me sens comme ne pouvant plus être séduit par rien, pas même par la chair qui déjà, me paraît moins distrayante que le cœur ou l'esprit... Tout m'ennuie, comme sans doute, j'ennuie.
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