Écrire sans ma muse,
c'est écrire terne, gris sur gris...
Devenir illisible de n'avoir rien à dire.
C'est ne plus écrire qu'états d'âme et d'aigreur.
C'est manquer d'élan,
de projection,
c'est rester sur l'écran.
Sans reliefs, sans rebonds,
sans couleurs.
Avec...
c'était un envol de milliers d'oiseaux,
une vague folle d’Étourneaux.
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