(journal de mes sensations)

mardi 10 mai 2011

Encore un peu

Parfois ma poitrine semble prise dans un étau qui irrémédiablement se serre, les larmes me montent alors aux yeux et mon souffle s'accélère. Cela peut se produire à n'importe quel instant, une émotion aussi infime soit-elle en est le déclencheur. Je suis au bord de moi ! Je ressens tout multiplié par cent, j'imagine que je transmet la même impression...
Pas le courage d'aller courir, et puis je l'attends... 
Elle est de retour, tout ira bien désormais. Au premier réveil avec elle dans mes bras tout reprendra vie et sens, j'existerai à nouveau... j'écrirai sans répits pour qu'elle soit fière. Et voyant briller ses yeux je serai heureux. Voilà c'est aussi simple que ça.

1 commentaire:

  1. Je t'implore pour ne pas effacer cette création. Notre création. S'il tu plaît. Elle existe!

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