(journal de mes sensations)

vendredi 27 septembre 2013

Déconvenues.

Il faut bien sourire de temps en temps... Mais laissons là Louisa que je ne connais pas... je n'aime en elle que le regard qu'elle porte sur moi... Comme d'autres n'aiment en moi que la façon dont je parle d'eux...
Hier, j'ai appelé tous les hôpitaux de Paris, pour tenter de savoir... sans résultat... en même temps, je pouvais sentir se confirmer ce sentiment que j'avais, sans pourtant être capable de le lire ou de l'accepter... ces drames imaginés ne reflétaient que mes peurs, et non pas la réalité... Ce n'est que de l'indifférence, trop d'occupations, une autre vie... Bref, je ferai mieux de m'occuper de moi. Un soulagement dans un sens, une déception dans un autre...
En fin de soirée, un message de J m'annonce qu'elle a un empêchement de dernière minute... nous devions partir tous les deux, passer le weekend à la campagne... Déception !
Tout va bien ! N'est-ce pas ?
Heureusement, que j'ai cette faculté de tirer le peu de bénéfice qu'il y a, en toutes circonstances, de tout ce qui se présente à moi ; y compris de choses insignifiantes, comme le regard plein d'envies d'une inconnue par exemple. Heureusement qu'il y a l'Oaxaca ; de bons bouquins dans lesquels disparaître et quelques lecteurs, plus ou moins inconnus, et pourtant, étonnamment fidèles à ces mots que je laisse ici...
Il faut vraiment que je change quelque chose. Mais quoi ?

2 commentaires:

  1. Rien!
    Enfin... que oui... peut-être une ou deux serrures!

    [Hm... vous classez dans la catégorie choses insignifiantes le regard plein d'envies d'une inconnue?!]

    Beau et bon week-end!

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  2. Merci, Moleskine, il me semblait bien, à moi aussi, qu'il me manquait des clefs...
    Chose commune, aurait pu paraître présomptueux, venant de ma part... J'ai préféré "insignifiant" pour son sens propre et pour jouer un peu avec les mots, enfin leurs sens. ;-)

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