Je me lève trop tôt et je dors trop peu. C'est la seule explication à cette apathie persistante. De plus, depuis deux semaines, une récurrente tendinite aux fessiers droits, m'empêche de courir... Mes siestes sont des comas. L'après-midi file sans que j'aie pu faire quoi que ce soit de satisfaisant. C'est désespérant.
Demain matin j'y vais - courir - et l'on verra bien...
Ce temps est pourtant propice à la fréquentation des terrasses de café, des parcs et, aux rencontres fortuites, mais je n'arrive pas à atteindre cet état d'esprit, ou à m'y résoudre. Je me sens encore tellement, convalescent.
Pourtant ce printemps qui s'affiche, invite à la légèreté.
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