(journal de mes sensations)

lundi 18 avril 2011

Pollutions nocturnes

De mes réflexions nocturnes, j'en arrive à la remarque que j'ai toujours été un enthousiaste, optimiste. Un enthousiaste que je me suis employé à saper par le biais de mes pensées ! Pensées elles-mêmes sapées par ma relation aux autres, par ce que je crois saisir (ou sens...) dans leurs attitudes à mon égard...
On ne devrait pas réfléchir la nuit, on devient alors la proie trop évidente de son mauvais génie...
Ces pollutions nocturnes ne sont, hélas, qu'intellectuelles et cauchemardesques, j'ai perdu l'insouciance de celles de notre adolescence, et c'est bien dommage, n'ayant pas plus l'envie d'en venir aux mains... Les affections de l'âme finissent toujours par nuire au corps, et vis versa...

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