(journal de mes sensations)

lundi 1 avril 2013

À force de hoquets...

Pas un bourgeon, pas même une fleur, de celles précoces qui encouragent... On est passé au mois suivant, on a même changé d'heure... mais pour ma part rien à changé... Même vide, même désintéressement... J'ai pulvérisé les limites de l'à-quoi-bon, pénétrant le vaste je-m'en-foutisme ! 
Ça traîne, ça peine... Ça ne m’emmène plus... À force de hoquets, on finit par caler.
La grande dérive... Plus aucune planète en vue, pas même une étoile... 
Alors... sans chaleur, sans désirs, sans douleurs... sans lumière...
Franchement... Tout m’emmerde ! 
Là... à cet instant, je n'y crois plus

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