(journal de mes sensations)

mardi 4 octobre 2011

Maudit mardi.

C'est dingue comme en une journée tout peu basculer.
L'entente radieuse devient discorde orageuse, à nouveau des reproches non fondés ou exagérés, fusent avec l'intention de blesser. Pourtant il n'y avait rien qui ne soit déjà connu... Certes, cette réaction traduit un mal-être, mais voilà, moi j'en ai ma claque du mal-être des autres ! Je ne sais pas si je suis fou ou si je ne fréquente que des fous. Ce qui finalement revient au même. Mais, je suis terriblement déçu de mettre encore fait avoir, d'avoir encore succombé au chant des sirènes.
Il est peut-être temps que je laisse tous et tout tomber et que j'aille voir de l'autre côté de la planète si j'y suis.
J'en reviens donc à l'à quoi bon... je serai toujours, pour tous, celui à qui l'on donne tous les torts pour n'en avoir eu qu'un ! La tête à claques ! Le con de service !
Même ce blog ne me paraît tout à coup n'être plus que de l’exhibitionnisme, sachant que personne, de ceux que je connaisse, ne le lit, quel intérêt peut-il avoir désormais ? Il faut dire qu'ils sont peu, si peu même que la troisième personne du pluriel ne convient pas vraiment ici...
Bref, un de ces maudits jours qui vous replace sur la case départ, effaçant tous vos efforts d'un revers de main.
Pourquoi ne puis-je jamais faire plus de cinq ou six pas d'affilés ? 
Pourquoi n'ai-je jamais le temps d'enfin pouvoir m'élancer ? 

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