(journal de mes sensations)

samedi 3 juillet 2010

Il s’agit là d’un rêve.

Une vielle maison entourée d’une nature sauvage.
À l'intérieur, les murs sont peints à la chaux,
Une belle lumière, un grand miroir, un vieux piano.
L’averse nous euphorise de ses parfums d’orage,
De ses odeurs d'humus, d’herbe coupée, de verts feuillages
Féline, suscitant mon désir, elle avance en note sur le piano.
Délicate et malicieuse elle propose alors d’un air finaud,
D’aller nous rafraîchir sous cette pluie d’été, et de rester sage !


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