Anticiper la douleur de l'être aimé, sachant, mieux que d'autre, que la vie fait mal, que l'autre ne vous épargnera jamais ! Prévoir ses difficultés, ses peines. Et lui offrir un confort que l'on se refuse à soi-même.
Aurai-je, à mon insu, développé avec la souffrance, le syndrome de Stockholm ? De vouloir ainsi, même victime, ne garder la douleur que pour moi-même ?
Je reconnais, quand même, que prendre soin d'elle c'est comme la douceur d'un matin tôt, de silence et de lumière, au bord de la mer !
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