Après tant de naufrages,
J’ai parfois le cœur amer,
De lourds et sombres nuages,
Rendent mon âme délétère.
Par faiblesse, je prends ombrage.
Faisant d’une averse un orage !
Dans tes yeux, une larme de mer.
Fait qu’exsangue, je me perds !
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